Le coronavirus l’impose, debout Afrique !

Article : Le coronavirus l’impose, debout Afrique !
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7 avril 2020

Le coronavirus l’impose, debout Afrique !

On ne le dira jamais assez, chaque occasion de trouble est une opportunité, autant que le chaos s’en dessine pour certains. Je regarde mon Afrique, ma Côte d’Ivoire et je me demande jusqu’à quand ?

Les verrous des geôles occidentales sont par terre en ces temps de crise épidémiologique. On peut les voir même supplier les nouveaux puissants (la Chine) de leur venir en aide. Mais comme ce prisonnier de la caverne qui a une phobie du changement, pas question d’appréhender ce soleil dont nous ne connaissons qu’un infime éclat.

Quand tout semble disposé pour pousser l’Afrique dans l’arène où elle a toutes ses chances, il y a ce petit bruit qui carillonne à l’oreille pour le rassurer de demeurer dans l’inconfort.

Aucun bonheur ne s’obtient sans sueur, sans peine, sans le sang ! L’occident est affaibli ! Il est temps, africains que nous nous relevions ! Relevons-nous pour discuter à nouveau les termes des contrats qui ont autrefois cédé nos pays, nos ressources, nos hommes et nos femmes. 

Il est temps que nous fassions front de façon responsable aux calamités qui touchent ce monde. N’allons pas toujours chercher refuge entre les jupons de l’Occident.

Pendant que le coronavirus redistribue les pions sur l’échiquier, [r]entrons en laboratoire. Proposons quelque chose au monde et que une fois de plus, notre valeur soit connue. Non pas pour profiter de nous, mais pour qu’encore, comme il en est depuis plus de 60 ans, que nos mamelles nourrissent le monde. 

On le criera encore et toujours. Les chaînes sont par terre ! Ne négocions pas les conditions de notre liberté. Imposons les critères de notre cohabitation ! Pour une fois, unissons-nous comme les doigts de la main pour former ce poing qui défie toute adversité ! J’y crois et je suis prêt !

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Commentaires

Diabaté Zoumana
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Très bonne pensée M.Kouadé. Combien sommes nous qui pensons ainsi. Aujourd'hui tout est politisé.

Luc Kouade
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Merci frère !